mardi 22 janvier 2013

Grinseec a testé pour vous : le scooter électrique.


Bonne année à tous !!!
Afin de commencer l’année sur une touche écologique Grinseec vous fait partager l’expérience du scooter électrique.




De mai à aout, je devais effectuer un stage dans un golf (dans le cadre toujours d’une aventure plus ou moins écolo..).Écologiquement convaincu, j’ai voulu essayer ce moyen de locomotion encore très marginal qu’est le scooter électrique.
 Je possédais déjà une expérience précédente sur les deux roues et naturellement, je me suis tourné vers le scooter électrique. Le fonctionnement  et l’utilisation du véhicule deux roues électriques  est semblable aux deux roues thermiques, cependant des distinctions sont à mettre en avant :


Les Avantages

Economie : avant tout, l’aspect du coût, pour un prix d’achat (neuf et occasion) sensiblement supérieur à celui du thermique, le scooter électrique devient plus vite amortissable dans le temps. Grâce au faible coût de recharge environ 0.30 à 0.40 centimes d’euros contre 6 à 8 euros de plein d’essence. (Plus éventuellement de l’huile afin de faire un mélange sur les  moteurs 2 temps).
A noter : une prime d’achat pour un véhicule électrique neuf peut être allouée par la commune de résidence, comme la ville de Paris qui aide à hauteur de 25 % du prix d'achat TTC du deux-roues électrique,  avec pour plafond  400 € maximum.
De même, l’assurance est sensiblement moins chère sur ce type de scooter en opposition au scooter classique.
La fiabilité joue beaucoup sur l’utilisation quotidienne et l’entretien du véhicule, grâce à l’électricité le scooter devient un engin très fiable, à l’instar d’un « téléphone portable », la seule contrainte étant de penser à le recharger (2 à 3 fois par semaine selon l’utilisation), ainsi que faire une révision chez le garagiste tous les 3000km environ.
Les Performances sont au rendez-vous, l’électricité connait des démarrages plus poussifs, mais ceux-ci sont compensés pas un bouton  « booster », celui-ci permet de délivrer une énergie étonnante qui augmente le plaisir de conduite et les sensations d’accélération recherchées en deux roues. 
Le Look n’est pas en reste, la taille réduite du moteur et l’absence de pot d’échappement donnent un style étonnant et fat sensation, il ne nous reste plus qu’à espérer une version électrique du grand classique Vespa ou encore MP3 du fabricant Italien Piaggio !
L’autonomie est équivalente à n’importe quel scooter, il permet de parcourir entre 45 à 60 km par recharge. Mais sa vitesse est réduite lorsque les batteries sont très déchargées.
Du point de vue écologique, celui qui nous intéresse le plus, ce mode de déplacement représente une alternative intéressante avec Zéro émission de co2 et zéro nuisance sonore. Il répond à la quasi-totalité de nos déplacements qui sont à la fois courts et dans un milieu urbain (80% des déplacements).



Les Inconvénients

En opposition à tous ces avantages, il y a bien quelques contraintes :
La Recharge, est le principal point noir du système électrique, les points d’alimentation (bornes de recharge) sont très rares et donc limitent les longs trajets, de plus le temps de recharge est long, environ de 2 à 4h pour une charge complète.
Le Poids peut être vu comme une contrainte, les batteries sont extrêmements lourdes environ 60 kg supplémentaires, et demandent une grande vigilance et de la force pour le pilote.
La Durée de vie des batteries est excellente, extrêmement fiables et robustes elles vous seront fidèles et seront la seule dépense importante qui pourrai vous arrivez sur ce type de machine en terme d’entretien.
Au point de vue de la Sécurité vous devez rester toujours vigilant et attentif autour de vous que ce soient voitures, deux roues ou piétons, l’absence de bruit peut rendre le véhicule furtif vis-à-vis des autres usagers de la route et ceux-ci peuvent être surpris par votre présence.
Le prix de revente du scooter d’occasion connait une plus grande dépréciation du fait du marché très restreint. Cependant, la revente reste assez facile.




Avis global

Grâce à cette expérience positive (plus de 4000 km parcourus cet été), j’ai pu avoir une très bonne opinion sur les véhicules électriques !
Avec un marché encore confidentiel, les deux roues électriques (scooter et vélo à assistance électrique) devraient s’imposer au fil des années en France comme à travers le monde et devenir l’un des moyens de transport les plus utilisés !

lundi 10 décembre 2012

La responsabilité sociétale des entreprises (ou RSE)



Parlons d’un cours à l’INSEEC pour les élèves en Management A… Un cours sur la Responsabilité Sociale/Sociétale des Entreprises (RSE), traduisible en anglais par l’expression « Corporate Social Responsability » (CSR).

La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) est la contribution des entreprises aux enjeux du développement durable.
Il s’agit, pour les entreprises, de prendre en compte les impacts sociaux et environnementaux de leur activité, et ce afin d’adopter les meilleures pratiques possibles et de contribuer ainsi à l’amélioration de la société et à la protection de l’environnement.
La RSE permet ainsi d’associer logique économique, responsabilité sociale et écoresponsabilité.
La RSE a fait l’objet de discussions lors de la table ronde du Grenelle Environnement consacrée à la gouvernance. Un comité opérationnel a travaillé sur le thème « entreprises et RSE » au cours de l’hiver 2008 et ses propositions sont à l’origine de programmes d’actions. Il s’agit notamment de développer l’information sociale et environnementale communiquée par les entreprises à l’attention de leurs parties prenantes (actionnaires, salariés, ONG, riverains, etc.) ou encore de soutenir le développement de « labels » permettant de reconnaître les  bonnes pratiques sociales et environnementales des entreprises.

En Europe, seuls le Danemark et la France ont fait de la responsabilité sociétale des entreprises un objet de réglementation, sortant ainsi de la soft law à laquelle elle appartient quasi généralement.

De plus en plus d’entreprises reconnaissent leur responsabilité sociale et environnementale. Leurs démarches sont encouragées aux niveaux international, communautaire et national. Au niveau international, l’OCDE promeut des principes directeurs à l’intention des entreprises multinationales (1976, révisés en 2011), et la norme ISO 26000 sur la responsabilité sociétale des organisations (nov. 2010), a été créée. Au niveau communautaire, le livre vert sur la RSE a été publié le 18 juillet 2001. Au niveau national, la RSE est identifiée comme un moyen privilégié pour inviter les entreprises à participer à la mise en œuvre de la Stratégie nationale de développement durable.

jeudi 8 novembre 2012

Atelier Massage !!


Cosmétiques et écologie


Quand on pense aux cosmétiques, on pense à l'hygiène, à la beauté et au bien-être. Pourtant, peu d'entre nous savent que les cosmétiques conventionnels sont potentiellement dangereux pour la santé et mauvais pour l'environnement.

En effet leur fabrication requiert l’utilisation d’une multitude de produits chimiques qui risquent de s’accumuler dans l’organisme. En polluant la terre et les cours d’eau, ils se retrouvent à nouveau stockés dans notre organisme par le biais de la chaîne alimentaire.

Parmi ces produits chimiques on trouve les silicones, les filtres solaires de synthèse, l’EDTA, les acrylates, les quats et polyquats ou encore les COV (composés organiques volatils). Toutes ces substances se retrouvent dans la nature où leurs effets néfastes sont parfois difficilement mesurables.

Les filtres solaires de synthèse par exemple, posent un réel problème. En polluant l’eau, ils tuent les coraux et se fixent dans les aliments gras comme le poisson. En outre, au contact de la peau, afin de la protéger du soleil, ils provoquent une réaction chimique qui risque de déclencher des allergies.

D’autres produits chimiques qu’on retrouve dans les cosmétiques sont cancérigènes ou soupçonnés de l’être. Leur procédé de fabrication requiert l’emploi d’autres substances hautement dangereuses et polluantes. Enfin, ces cosmétiques sont systématiquement testés sur les animaux avant leur mise sur le marché.

Sachant tout cela, faut-il pour autant renoncer aux cosmétiques ? La réponse est non bien sûr, car une solution existe : les cosmétiques bio certifiés. Ces cosmétiques utilisent des ingrédients naturels à base de plantes (huiles végétales et essentielles) et de minéraux (mica, oxyde de fer). Ils sont respectueux de l’environnement, apportent un réel bénéfice à la peau et ne sont pas testés sur les animaux. Il faut cependant s’assurer qu’ils sont bien certifiés par un organisme indépendant comme Ecocert, BDIH ou encore Nature et Progrès.


jeudi 13 septembre 2012

mardi 22 mai 2012





Achetez-vous un PC Green ?

 La montée en puissance de la problématique du développement durable ne se  dément pas. Saviez-vous que les consommations électriques du secteur informatique génèrent 2% des émissions de gaz à effet de serre de la planète, soit autant que le transport aérien (Gartner, 2011) ?


Et vous, que recherchez-vous lors de l'achat d'un PC ?

Pour étudier de plus prêt vos critères d'achat du grand public accordés à un PC, j'ai mis en place un questionnaire en ligne pour atteindre un maximum de consommateur.

Je vous sollicite aujourd'hui à participer à cette étude en répondant au questionnaire
ici.

L’objectif de ce questionnaire est de recueillir vos besoins et attentes en en matière de PC (fixe ou portable) qui déterminent votre acte d'achat  vers une catégorie de PC.

Cherchez-vous en priorité un PC peu onéreux, ou bien la dernière nouveauté du marché, ou encore économe en consommation d'énergies...? *


Les résultats vous seront par la suite communiqués à la fin de mon étude courant juillet.*

Merci pour vos précieuses réponses !

Rizana

samedi 21 avril 2012

Quand l’amour du naturel devient l’amour au naturel.


Etre végétarien ou végétalien, être végane c’est mieux ! Ou en tout cas c’est « plus sain ». Les adeptes du véganismes réprouvent toute consommation ou achat de produit issu d’animaux ou testés sur eux. Ainsi pas de cuir ou de fourrures pour les véganes. Mais ce n’est pas tout, un grand nombre de produits leurs sont ainsi interdits notamment tous ceux relevant de la sphère du sex-shop d’ordinaire peu attentifs à l’origine de ses produits.

C’est là qu’intervient cette idée hallucinante visant à concilier amour de la chair et amour de la cause animal. L’ouverture d’un sex-shop 100% bio. Il n’y a qu’à Berlin que cette idée pouvait prendre forme. Dans la capitale d’un pays comptant près d’un demi-million de véganes, la niche était toute trouvée. Et à la question « comment pimenter son activité sexuelle sans enfreindre ses principes » ? Les propriétaires du sex-shop ont trouvé une réponse. Ils apposent à côté des accessoires sexuels un petit écriteau précisant les produits vendus ici sont dépourvus de toute matière animale. Du fouet en pneu de vélo recyclé au vibromasseur en  silicone écolo en passant par le lubrifiant biologique, on peut trouver de tout. Passant par des producteurs locaux plutôt que par de grandes entreprises implantées en Chine, ce sex-shop a fait le choix du qualitatif et contrôle ses produits aussi scrupuleusement que s’il s’agissait de nourriture.

A travers cet exemple c’est une nouvelle preuve de la prise de conscience qui se déroule au sein de nos sociétés modernes. La question de la provenance des produits et de ce qu’ils contiennent est posée de plus en plus. On souhaite non seulement pouvoir manger sainement (la création d’un label bio répondait à cette demande) mais on souhaite aussi pouvoir accéder aux fantaisies sexuelles sans risquer d’enfreindre son code de conduite. Le bio aujourd’hui ce n’est plus seulement de l’alimentaire. Alors qu’attendez vous pour offrir à votre chère et tendre son première lubrifiant bio garanti sans allergènes ou produits chimiques ?